Centipede Saturday
Publié le 9 Janvier 2012
Hey les gens, c'est lundi et c'est la lose. On a encore mangé une galette ce midi, j'en peux plus de la frangipane, de toutes façons j'aime pas ça à la base, mais je joue quand même parce que j'aime bien avoir la fève. C'est ma chef qui l'a eue. Il y a une justice: elle doit donc racheter une autre galette pour jeudi. Argh. Le cercle vicieux de la frangipane. Vivement février.
Sinon, je sais que pour aujourd'hui, j'avais annoncé ma chronique de magazine, mais en fait j'ai pas eu le temps ce week-end, donc je l'écris ce soir (je suis de babysitting donc j'ai du temps libre). Ce week-end, j'ai regardé The Human Centipede 2 en DVD avec ma chère amie de prépa aussi timbrée que moi. C'était encore plus nul que le 1, et Dieu sait que je ne croyais pas cela possible. C'est plus gore aussi, et ça j'aime pas trop. J'ai donc regardé la moitié du film à travers mon écharpe; oui, à travers, comme ça je voyais surtout des ombres bouger, donc je comprenais ce qui se passait mais ça ne me choquait pas. Ma co-visionneuse s'est pour sa part planquée derrière un coussin. Bon, c'était quand même marrant. Mais j'espère qu'il n'y aura pas un Centipede 3, parce que je vais me sentir obligée de le regarder, et au total j'aurais donc consacré 4h30 de ma vie aux films de Tom Six, et c'est 4h30 de trop.
Mais pour ceux qui se demandent ce qui passe dans cette suite tant attendue, je vous donne les grandes lignes: un gardien de parking trop chelou se prend de passion pour le film The Human Centipede, le premier film de Tom Six donc. Du coup, il décide de faire pareil, mais avec douze personnes au lieu de trois. Il se met donc à collecter des victimes à droite à gauche parmi les clients de son parking, puis à les stocker dans un grand entrepôt (dont il a "recruté" le propriétaire). Une fois qu'il a onze de ses victimes, il fait venir l'actrice-star du premier volet du Centipede sous prétexte que Tom Six tourne la suite. Voyez cet habile mélange de fiction et de réalité! La meuf rapplique et of course il l'inclue dans son centipede, ou, comme l'a fait remarquer mon frère, son vingt-quatripède. Il la place en tête et puis il entreprend d'agrafer les uns aux autres ceux de derrière. C'est fait un peu beaucoup à l'arrache tout ça, c'est pas très solide mais bon, il est quand même content de lui. Il essaie de nourrir son nouveau monstre de compagnie, mais celui-ci n'est pas très coopératif. Il lui injecte du laxatif pour voir ce que ça fait (explosion d'excréments à la clé, c'est ravissant). Puis comme la fille de tête fait un peu beaucoup de bruit en geignant, il lui arrache la langue. Pas cool. Enfin, pris d'une vague de désir subite, il s'accouple à la dernière personne de la file, et donc au vingt-quatripede tout entier... Charmant. Au final, tout le monde meurt, aussi bien lui que l'intégralité des membres de sa création. Un bon film pour un samedi après-midi, quoi.
Sinon j'ai pas mal glandé, j'avais une répète de musique et puis j'ai regardé une nouvelle série, Enlightened, pas mal du tout. C'est l'histoire d'une fille qui pète les plombs au boulot, qui part en rehab spirituelle à Hawai et qui, au retour, doit confronter son nouvel être zen à son ancien environnement stressant... Marrant.
Enfin, grande nouvelle: Jersey Shore a entamé sa cinquième saison! Hourra! Vous aurez donc droit à de petits updates hebdomadaires. Pour ceux qui ne connaissent pas encore la meilleure émission de real tv de tous les temps, suivez ce lien pour un petit récap. Merci MTV de produire de telles perles. Dans le premier épisode, les joyeux colocs reviennent occuper la beach house où ils ont l'habitude de passer leurs vacances sur la côte du Jersey, aux Etats-Unis. L'héroïne de ce show est bien sûr l'incroyable Snooki dont je vous parle régulièrement (désolée). Elle est maquée à présent. Sauf que comme elle a déjà couché avec la moitié des représentants masculins de la maison, son mec s'inquiète un peu. Compréhensible.
Voilà voilà. Demain donc, chronique du magazine M. Au début, je voulais acheter Maxim, mais je ne l'ai pas trouvé au premier coup d'oeil. J'ai donc attrapé M un peu au hasard en pensant que c'était la même chose. Mais en fait, pas du tout. M, c'est un magazine à destination de la communauté homo masculine. D'où les pages et les pages de mecs magnifiques épilés et dénudés. Voyez plutôt cette ancienne couverture:
Du coup, mon buraliste a commenté: "Wah, des abdos pareils, c'est impressionnant." Ce à quoi je lui réponds: "Il y a quand même un peu de Photoshop non?" Et là il me dit: "Pas du tout, j'ai un ami qui fait de la boxe et qui a les mêmes." Ah. Eh bien présente-le moi à l'occasion!